09.70.17.00.04


Rome, la ville qui chuchote à l’oreille du monde depuis trois millénaires. À ses murmures éternels, une adresse vient répondre avec grâce et retenue.
Voici Six Senses Rome, le souffle suspendu d’un voyage luxe sur mesure.

 

Une échappée confidentielle au cœur de la Rome antique

Sur la discrète Piazza San Marcello, à deux pas de la via del Corso, se cache un palais qui ne se montre qu’à ceux qui savent regarder.
Dans l’ombre dorée de la Fontaine de Trevi, du Panthéon, des ruelles du Trastevere, Six Senses Rome vous ouvre les portes d’un monde où l’on voyage autrement.

Le bâtiment porte le nom des familles qui lui ont donné âme et noblesse – les Salviati, les Mellini. Et aujourd’hui, il continue à vivre. 

 

Une esthétique de la lenteur signée Patricia Urquiola

Confiée à l’architecte de renommée mondiale Patricia Urquiola, la transformation du lieu épouse une esthétique romaine contemporaine, nourrie de matières brutes et de savoir-faire italiens. Les lignes sont fluides, les espaces végétalisés, les couleurs minérales. Dès l’entrée, l’hôtel s’impose comme une respiration au cœur de la frénésie romaine, un abri de calme et de sens. Plafonds hauts, lumière naturelle, cocciopesto traditionnel, travertin local, étoffes discrètes, plantes suspendues... Chaque espace semble dessiné pour ralentir le temps.

Les 96 chambres et suites sont des refuges doux, où tout est calme, volume, texture.

Dans les suites Mellini ou Salviati, les terrasses privées sont des jardins suspendus, posés au-dessus des toits de Rome. À l’aube ou à la tombée du jour, l’on s’y sent seul au monde.

 

Rituels de Rome, rituels de vie

À Rome, on ne dîne pas. On célèbre.

Le BIVIUM n’est pas un simple restaurant. C’est une place intérieure, vivante, ouverte, où l’on savoure une cuisine italienne repensée autour du végétal, des saisons, des racines. 

Plus haut, dans le ciel de Rome, le rooftop NOTOS. Une terrasse-jardin, ponctuée d’herbes aromatiques, de poteries anciennes, et de lumières douces.
C’est là que l’on commence la journée, à l’abri des regards. Ou que l’on la termine, face à un coucher de soleil romain, un verre à la main, dans un moment hors du monde.

 

Un spa inspiré de l’Antiquité, dédié au corps vivant

Trois bassins en enfilade – caldarium, tepidarium, frigidarium – rejouent les gestes des anciens. On y entre comme dans un temple, pour retrouver le rythme oublié du souffle, de la chaleur, de la fraîcheur.

Puis viennent les soins, les massages, les pratiques holistiques, dans des pièces aux teintes minérales.
Les espaces de méditation et de biohacking ouvrent d’autres voies : une approche du bien-être qui invite à écouter ce que le corps sait déjà.

Ensuite, l’Alchemy Bar offre un espace intime où les herbes, les huiles, les essences deviennent langage. L’on y compose son propre baume, sa propre lotion, non comme un souvenir mais comme un prolongement de l’instant.

 

Six Senses Rome, ce n’est pas un hôtel. C’est un écrin pour les âmes sensibles au silence d’un patio, à la beauté d’un mur de pierre, au souffle chaud du vent qui traverse une chambre ouverte.